lundi 29 octobre 2012

La vengeance est un plat qui se mange froid

Vos deux reporters, monsieur Gouast et moi-même, ne sont plus dans le même hôtel comme avant mais dans des familles, eux aussi. Pourtant, la guerre des professeurs continue, et mon collègue a pris une petite revanche sur mon post " capitaine Krabs" avec celui de l'écureuil. Mais ne vous inquiétez pas, vous suivrez les nouvelles aventures des profs aux states et leurs vengeances réciproques très prochainement.


Pour l'instant, revenons à nos élèves et même si nous sommes désormais dans le Vermont, je ne résiste pas à l'envie de vous montrer les oeuvres d'art à la française de nos cuisiniers d'un soir hier, à Boston. Le problème est maintenant le suivant : si Picasso avait fait ses tableaux en nourriture, aurait-il gagné autant d'argent? J'en doute, mais ne désespérez pas les enfants!

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